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pains perdus

  • La fragilité est une force, senteurs des tisanes, troc.


    Méditation : Reconnaître ce qu’on n’est pas capable de faire et prendre la décision de ne pas le faire : admettre sa fragilité est une force.

    Senteur : Humer les senteurs des tisanes de l’Herboristerie du Père Blaize (badiane, citronnelle, boutons de roses, ...) ainsi que celle du flacon d’eau de fleurs d’orangers immédiatement utilisée pour parfumer un gâteau.

    Troc : Pains perdus contre petit bricolage ; dépôt de quelques livres dans la boîte à livres sur la corniche contre le plaisir de savoir que cette boîte à livres est là.


  • Pain rassis.


    N’ayant conservé que très peu des principes du temps passé des convenances à respecter, décider de s’occuper du pain rassis qui reste dans la panière car « on ne jette pas du pain ».
    Devant le tas de tranchinettes et de quignons, s’interroger pour savoir si on va faire des pains perdus ou du pudding.
    Finalement, faire les deux.
    Servir les pains perdus au goûter.
    Apporter le pudding, encore tout chaud, au voisin du dessus dont on se souvient qu’il a aidé à creuser une fine tranchée dans le jardin afin de planter les bulbes de tulipes.
    En profiter pour lui souhaiter une bonne année.